Vidéo 2 min. 56 sec.
Dimensions flexibles
Absence est un tryptique vidéographique réalisé pour une projection de grande envergure. Elle est réalisée afin de couvrir une pièce entière. Cela dit, il s'agit d'une vidéo immersive où le spectateur peut aller à la rencontre de l'artiste. Effectivement, l'artiste se présente en autoportrait et ce, à grande échelle, à plusieurs reprises pendant les 2 minutes 56 secondes du vidéo. Dans cette oeuvre, l'artiste-chercheure traite de l'absence de manière autobiographique, en sens qu'elle traite de l'absence paternelle, mais l'objectif de cette oeuvre était de rendre l'absence de façon autobiographique, certes, mais de façon suffisamment impersonnelle afin que toutes et tou.x.s puissent s'approprier l'absence et aller à la rencontre de ce phénomène comme il ou elle l'entend.
Vidéo 2 min. 56 sec.
Dimensions flexibles
Absence est un tryptique vidéographique réalisé pour une projection de grande envergure. Elle est réalisée afin de couvrir une pièce entière. Cela dit, il s'agit d'une vidéo immersive où le spectateur peut aller à la rencontre de l'artiste. Effectivement, l'artiste se présente en autoportrait et ce, à grande échelle, à plusieurs reprises pendant les 2 minutes 56 secondes du vidéo. Dans cette oeuvre, l'artiste-chercheure traite de l'absence de manière autobiographique, en sens qu'elle traite de l'absence paternelle, mais l'objectif de cette oeuvre était de rendre l'absence de façon autobiographique, certes, mais de façon suffisamment impersonnelle afin que toutes et tou.x.s puissent s'approprier l'absence et aller à la rencontre de ce phénomène comme il ou elle l'entend.
Installation
122 cm X 167 cm
Matériaux mixtes : draps blancs, livres, neige artificielle, mégots de cigarette, pot de verre, etc.
Érotique intime est une oeuvre installative qui fut réalisée en 2018, dans le cadre du cours de baccalauréat La textualité à l’oeuvre. Elle est conçue à partir d’objets issus d’un intime propre à l’artiste, mais qui peuvent toutefois faire référence à tout autre intime. Partageant les ouvrages de George de Bataille, L’Érotisme et de Simone de Beauvoir, La cérémonie des adieux, l’oeuvre fait un clin d’oeil au processus de recherche, mais également au partage de connaissances. Érotique intime se voit d’avantage être une oeuvre réalisée pour le partage de soi et la mise à nue.
Installation
180 cm X 190 cm (approximatif)
Matériaux mixtes : draps blancs, livres, neige artificielle, mégots de cigarette, pot de verre, cadre, dessin, fil, peinture à l'huile, poèmes, cartons poétiques, etc.
Érotique intime est une oeuvre installative qui fut réalisée en 2018. Elle est conçue à partir d’objets issus d’un intime propre à l’artiste, mais qui peuvent toutefois faire référence à tout autre intime. Partageant les ouvrages de George de Bataille, L’Érotisme et de Simone de Beauvoir, La cérémonie des adieux, l’oeuvre fait un clin d’oeil au processus de recherche, mais également au partage de connaissances. Érotique intime se voit d’avantage être une oeuvre réalisée pour le partage de soi et la mise à nue. Elle se voit également comme un espace intime relationnel. Cela dit, le visiteur est invité à investir l'espace et à repartir avec un carton poétique de son choix. En ce sens, le visiteur repart avec un bout de l'oeuvre et ainsi, Érotique intime se voit partiellement comme une oeuvre éphémère.
Érotique intime, 2018.
Érotique intime, 2018.
Érotique intime, 2018.
Érotique intime, 2018.
Érotique intime, 2018.
Érotique intime, 2018.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Absence, 2020.
Impressions jet d'encre sur feuille semi-lustrée
28 cm X 43 cm (approximatif)
Il s'agit d'une oeuvre photographique réalisée dans le cadre d'un processus de recherche axé sur la libération des genres. Ceci dit, l'artiste a invité Karl Peterson, un jeune adulte issu de la minorité lgbtq2ais+, à venir exprimer ses couleurs.
Gentle trans, 2016.

STÉPHANIE
BOULAY
A R T I S T E
Conversations, 2021.
Vidéo performance
Conversations se déploie en trois projections vidéographiques qui prennent la forme d’une installation. En octobre dernier, le duo était en résidence de création à l’Atelier Silex (Trois-Rivières), certaines traces de leur résidence, incluant les projections vidéographiques, y sont exposées. Ce projet d’exposition se veut le dénouement de leurs recherches et créations réalisées pendant leur résidence.
Les Muses ont eu pour objectif de créer une rencontre et un dialogue entre elles par le biais d’actions performatives. D’autre part, de générer une intimité en créant des conversations gestuelles. Au-delà de la parole, que peut dire un corps ou un geste? Comment se traduit-on de façon autobiographique par le biais de notre corps? Comment le corps devient-il le réceptacle de souvenirs, de blessures, de traumatismes? Et comment le geste symbolique et l’expérience de ce dernier peut-il faire office de réparation? D’autre part, elles souhaitent, par la même occasion, devenir les modèles – les muses – de leur corps. Conversations prend ses inspirations à travers la discipline de la danse contemporaine, c’est-à-dire par l’entremise du corps chorégraphié et écrit.
Les Muses est un duo composé par Ariane Lebeau et Stéphanie Boulay. Elles sont bachelières en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec À Montréal (UQÀM) et étudiantes à la maîtrise en arts (recherche-création) à l’Université du Québec à Trois- Rivières (UQTR). Leur parcours académique ainsi que leur démarche en recherche- création se voient grandir et converser ensemble depuis plusieurs années. En parallèle de leur démarche individuelle, elles ont choisi de jumeler leur vision ainsi que leur posture d’artistes-chercheuses.
Elles ont pour thèmes centraux le corps et l’intime. Elles abordent les champs d’études féministes et de genres par la performance, la vidéo, l’écriture, le textile ainsi que l’installation. Elles ont pour objectif d’explorer le corps, sa gestuelle et sa symbolique. Comment le geste se définit-il? Comment le corps converse-t-il?
Elles s’intéressent non seulement à comprendre comment leur corps peuvent converser, mais plus particulièrement à savoir comment la gestuelle traduit une identité propre et singulière. Les identités de genre et le féministe sont abordés dans leur démarche artistique par l’entremise d’une approche méthodologique autopoïétique et autobiographique. Les Muses explorent ainsi leur individualité à travers le duo qu’elles composent. À travers un regard performatif, elles abordent le corps et sa gestuelle comme un langage.
Le projet a bénéficié du soutien financier de la Fondation de l’UQTR et de l’aide du Groupe URAV, plus particulièrement de Philippe Boissonnet, directeur du Groupe URAV.

